Attendre...

Abigaïle regardait l'océan. Cette étendu si lointaine et utopique. Elle aurait aimé en faire partit. Elle sentait le vent marin lui foueter le visage et cela la fit sourire. Les vagues roulaient sous ses pieds, loin, en bas. La jeune femme était assise sur le bord d'un précipice. Elle n'avait pas peur, loin de là. Elle regardait au loin, rêvant, espérant, se se souvenant...

Elle avait souvent fait cela en Italie mais maintenant, elle savait que ces jours étaient complètement finit. Elle n'y retournerait jamais, pas qu'elle ne le veuille pas, mais elle ne s'en sentait pas capable. Cela l'attriatait beaucoup, même si elle ne voulait pas se l'avouer à elle même. Son air mélancolique lui revint, mais elle restait de marbre à la douleur intérieur.

Elle pensait à d'autre chose que son passé. Son présent, son avenir... Ce dernier moin, n'étant pas sûr de son existence probable. La jeune femme se concentrait surtout sur le présent. Elle repensait à tout ce qui lui était arrivé depuis son départ de l'Italie, jusqu'à maintenant, en Amérique. Abigaïle pensait à la Confrérie, à ses choix... Elle pensait à Martin, son seul ami, celui qui l'avait aider plus que personne... Elle pensait à l'Institut et à tout ces gens qu'elle avait rencontrer. Sa vie, son existance même était devenu si compliqué depuis l'apparition de ce gêne. La jeune femme soupira...Que de questions...Toutes ces questions sans réponses...

Abigaïle laissa le vent la baloter, même si elle frolait le vide. C'était une aventure mais elle attendait surtout le spéctacle. Ce spectacle inouit qu'était le coucher du soleil. La jeune femme resta donc, à observer, espèrer, et surtout, rêver. Elle sentit comme une présence, un vent, un bruit...Oui, ce vent, ce même qu'en Italie... Si seulement elle avait été le vent, si seulement....

Max qui passait par là pour se changer les idées vit la jeune entrain de rêvasser. se dirigea vers dans son dos et tenta de boir ce quelle fixa dans l'horizon.

"Vous avez une belle vue d'ici ma chère et une bonne brise en plus de ça."

"Ou bien vous attendez quelqu'un?"

Abigaïle l'entendut approcher mais ne dit rien, elle ne fit rien. Un jeune homme. Elle se retourna lentement, le vent faisant voler ses cheveux dans son visage. Son visage était ombragé à cause du soleil dèrière elle. Elle l'observait, son regard assé froid et neutre, cette non-chalance émanant d'elle.

''Non...je n'attend personne...''

Elle soupira et se dit tout bas à elle même, un simple murmure...

''Je n'attend plus rien de personne non plus...jamais plus rien...non...''

Inaudible presque. Un sentiment, une pensée... La jeune femme observa cet homme. Il était plus vieu que certain, mais plus jeune que son chef. Elle ne lui sourit pas mais se relaxa quelque peu. Il ne lui avait rien fait, mieu vaut ne pas lui faire de mal. Elle se donna une claque mentale, qu'est-ce qu'elle s'en foutait s'i les autres avait mal. Abi avait changé, pour le pire d'apèrs elle.

''Que voulez vous?''

Elle s'était retourné pour voir le soleil, ne voulant pas montrer ses yeux et le désaroi de son âme qu'ils dévoileraient. Elle ne voulait plus connaître personne. Elle se sentait seule. Ce n'était pas la réalité, mais son monde était déformé. La jeune femme eu un grand frisson. Abi n'était plus elle même ces temps ci, et cela l'éffréyait grandement.

"Une bonne question qui attire plusieur réponse. -Qu'est-ce que je veux?-
M'échapper de mes pensées, songer au solution avenir. Ou bien voir pourquoi une jeune femme est tormenter par son passé."

Max lui déposa son manteau sur les épaules de Abigaïle.

"Vous portez un fardeau je ne vais pas vous demandez quelle est votre fardeau. C'est à vous de le dire en temps et lieux. Car vous parole son froide."

Max resta en place et regardait la jeune femme un sentiment qu'il a déjà connue.

Abigaïle serra le manteau contre elle. De la chaleur. Elle regradait l.homme qui se tenait devant elle, il sembalit comprendre ce qu'elle resentait. Elle ne dit rien mais se tassa un peu, lui signalant qu'elle lui permettait de s'assoir à côté d'elle.

''Merci...''

Il était courtoie on dirait. La jeune femme n'en concluait rien, tout le monde avait plusieurs facette. Elle ne pu s'empécher de sourire légèrement quand il lui dit qu'elle était froide, c'était presuqe drôle.

''Un passé...Oui, j'en ai un...Un futur parcontre...''

Elle fixait le solei couchant puis chavira osn regard bleu profond dans celui de l'homme.

''Mais, je ne sais pas s'Il vaut la peine d'être vécu?''

La vie n'avait jamais eu un grand sens pou Abi, surtout depuis qu'on l'avait abandonné à cause de ses pouvoirs.

''Qui êtes-vous?''

Il devait bein avoir une raison derièrre cette gentillesse. Elle voulait y croire mais s'en gardait. Elle ne laissreait plus de deuxième chance, ni une première des fois...

Max vit la place que Abigaïle lui faisait il s'assit à côté de elle en la remercia.

"Je suis Max Dillon, la peine que vous ressentez tout l'a ou l'a eu. Mais sachez ceci ma chère je ne suis pas celui qui va vous méprisez mais plustôt celui qui va vous comprendre dans vous moment difficile. Toute vie dois être vécu, elle est souvent parsemer de misère et d'espoire. Je ne connais pas votre histoire ni vous connaissez la mienne."

Max se retourna la tête dans la direction de la jeune femme et plongea dans son regard bleu.

"Il y a une tritesse qui vous envie certe mais je vois aussi un lueur d'espoir en vous."

Max se leva la tête pendant une seconde vers le ciel.

*Hum. un orage qui approche mauvais signe*

Abigaïle l'écoutait. L'espoir? Sa vie valait la peine d'être vécu selon lui. Max semblait la comprendre. Elle le regardait profondement. Était-il mutant ou humain? Égale ou inférieur? Comprendrait-il ses point de vues? Ses idéeaux?

''Qui sait...''

Sa voix était monotone, un accent italien la faisant vibré. La jeune femme regardait encore cet inconnu, ce Max Dillon. Il semblait la sondé, et voir en elle. Abgaïle se surprit à vouloir le croire, à coulir lui dire, à vouloir se confier. Mais elle ne le pouvait pas, enfin, pas tout de suite.

''Une tristesse sans fin, une peur constante. De l'espoir...Si seulement je pouvais vous croire...''

Elle venait de lui en dire plus qu'a plusieurs. Était-elle vraiment si forte que ça? Ou peut-être ce trompait-elle elle même? Abigaïle n'était plus sur de rien. Son nom, sa vie d'avant, les changements, les sentiments. Elle les connaissaient, se rappellaient les avoir vécu. Ils faisaient d'elle...elle.

''Je suis Abigaïle...''

La confrériste pouvait se présenter. Simple courtoisie en retour. Elle sentit l'air, il venait de changer. De la pluie peut-être? Peut importe. La jeune femme se serra dans le manteau de Max, confortable et un peu rassuré.

"Ravi de vous rencontrez ma chère Abigaïle. Je sais ce qu'on va faire lever vous s'il vous plait."

Max se leva à côté de Abigaïle et lui tendi la main.

"Dite moi ce que vous aimez et l'odeur qui vous fait rêver Faite moi confiance, ceci pourrait vous aidez."

Abigaïle regarda Max un instant. Elle se leva, elle n'avait pas beaucoup de choix, mais elle sourit. Cet homme avait une attitude qu'Abi aimait bien, et elle ne pouvait pas renier cela. Il lui tendait la main et lui demandait de le suivre. Pouvait-elle lui faire confiance? Devait-elle le suivre? On voyait qu'elle hésitait mais elle lui prit la main, un air timide sur son visage.

''D'accord...''

Ce qu'elle aimait. Elle le savait, c'était une chose auquel elle avait souvent pensée.

''J'aime les roses...Leur parfum...leur beauté. J'aime le clair de lune et les étoiles, le bleu, la mer, la pluie. J'aime les chandelles et la brise. La simplicité d'un paysage...''

Elle regardait Max dans les yeux. Oui...elle le suivrait...elle verait bien...

''Je vous suis...Max...''

Il n'avait pas sa confiance tout de suite. C'était une chose rare et difficile à gagner, mais elle le suiverai pour l'instant. Abigaïle était curieuse et aimait bien cet inconnu, son attitude, sa courtoise. Elle verait bien ou tout ceci mènerait.

"Très bien Abigaïle fermé les yeux je veux que vous imaginez que vous tenez cette rose dans vos main son parfum qui vous envahie et sa beauté et vous êtes sous un clair de lune parmis des millions d'étoiles et vous entendez les vagues de la mer qui sont pousser gentiment par le vent et une fine pluie qui tombe, sentez cette pluie délicate et au une lueur qui n'aet pas affecter par la fine pluie."

"Abigaïle gardé vous yeux fermé et imaginer cette atmosphère et ne penser à rien d'autre sauf à se lieu, cette atmosphère de rêve."

Max lui prit les mains Abigaïle et s'est mit a dansotté avec Abigaïle.

"Rester dans ce monde revener quand t'il vous plaira."

Abi le regarda un moment, puis fit ce qu'il dit.

''D'accord...''

Elle l'imaginait. Ça lui prit un moment, mais elle finit par sentir le bon parum de la rose, la douceur des pétales. Elle entendait la mer et sentait la pluie, doucement tombé sur son corps. Elle se sentiat si bien. Abigaïle ne se rappelat plus la dernière fois qu'elle avait resentit cela.

''Je...oui...''

Elle sentit Max lui prendre le mains et la rapproché contre lu pour dansé. Elle se laissa faire. Toujours dans sa rêverie, elle se snetait si bien. Abigaïle eu un vrai sourire et ouvra lentement des yeux. Ses deux prunelles bleu était gentiment fixé sur Max.

''Merci Max...''

Abigaïle posa sa tête sur son épaule en dansant. Elle pouvait encore sentir le parfum de cette rose, et cela l'endormait tellement elle se sentait bien. Qui aurait pensé...qui aurait pensé qu'elle aurait pu resentir cela encore...

On ponvait entendre la foudre approcher.

"Comment vous sentez Abigaïle?"

Max regarda le ciel d'un oeuil inquiet. Mais il continua à dansotter avec Abigaïle.

"Abigaïle si vous sentez dans le désaroie ou si vouz êtes sur le bord de craquer retourner dans votre monde."

La foudre approchais de plus en plus Max commençais a avoir des sueur. Il tenta de le cacher pour pas alarmer Abigaïle de son état.

Abi sourit tendrement et acquiesa.

''Je me sens beaucoup mieu...merci Max...''

Elle savait que ceci l'aiderait surement. Ils dansotaient encore quand elle entendu le tonnerre. Abigaïle sursauta, surprise par le bruit. Elle avait serré la main de Max un peu plus fort, mais elle remarqua aussi qu'il semblait tendu.

''Max...qui a-t-il?''

Elle se doutait que ça avait rapport avec la foudre. Elle y pensa un instant. Était-il mutant? C'était peut-être pour cela? Abi resta contre lui, incertaine de ce qu'elle devait faire.

''Voulez-vous qu'on aille quelque part d'autre?''

Au moment ou elle dit cela, une éclaire trancha la ciel en duex et il commença à pleuvoir des clous. Abi laissa libre cour à la pluie sur son visage et dans ses cheveux. Elle avait fermer ses yeux momentanement, mais les rouvram cherchant une réponse dans les yeux de Max.

"Hein?...ç...ça..va Abigaïle vraiment."

Mais il le fainta par un sourire forcé. Mais Soudain max regarda le ciel de nouveau et cette fois-ci il sentait la foudre apprccher.

"Abigaïle reste ici quelque se...sec..seconde. Je reviens tout de suite après je vais juste aller voir.. Ce qui se passe, je reviens je te le promet.

Max pris une bonne distance car il sentait que la foudre alla frapper à tout moment. Mais avant qu'il pu se rendre où il devait aller la foudre éclata déchira le ciel. Max usa de son pouvoir pour rediriger la foudre vers lui et sur se fais se fit frapper de plein fouet à peine 6 pied d'Abigaïle. Max tomba sur le sol fuma de partoutson linge calciné par endroit.

Abigaïle le laissa aller à contre coeur. Elle le regardait s'éloigner. Reviendrait-il vraiment? Elle l'espérait... Quand il ne fut qu'a 6 pied d'elle, la foude frappa l'homme. Abi laissa échapper un cri et courru vers Max.

''MAX!!!''

La jeune femme s'agenouia à côté de lui. Son corp fumait par endroit. Abigaïle ne savait pas quoi faire, elle commençait à paniquer. Elle prit la main et la serra.

''Max...Max...répond...s'il te plaît...''

C'était futile. Elle savait que la foudre tuait. Abigaïle sentait les larmes lui venir. Elle ne pouvait pas y croire. Cet homme qui veait de l'aider, de lui montrer la douceur de la pensée, venait-il vraiment de mourir sous ses yeux? Abi se sentit devenir plus pale. Elle avait tellement peur...

Max ouvrit les yeux et un courant électrique passa dans ses yeux

cough cough cough

Max lui passa la main sur le visage en afficha un sourire.

"Bonjour Abigaïle, je suis désoler de t'avoir fais peur. Désormais je sais comment se sent les poulets au four."

Tenta de détendre l'atmosphère.

"Aller calme me toi ma belle rose,t out va bien."

*POAH! je pue le carboniser. Bonjour l'odeur*

Abigaïle regarda Max d'un air très surprise et lui sauta au coup. Elle le serra dans ses bras. Elle avait eu si peur de le perdre. Elle ne le connaissais que depuis quelques heur mais c'était assé. Abigaïle le regarda droit dans les yeux, les sien luisant encore.

''Ne me refait plus jamais ça...''

Elle lui sourit et posa sa tête sur son épaule. Elle ne s'en aurait pas douter, loin de cela. Abigaïle sourit quand il l'appella sa ''belle rose'', elle se sentait rassuré. Elle savait qu'elle devait aussi se révéler à lui, son secret, leur secret commun.

''Tu es comme moi alors...un mutant...''

Elle ne savait pas comment il prendrait la nouvelle. Elle savait qu'il appartenait à l'Institut et elle à la Confrérie, elle ne savait pas comment il réagirait.

"Hé oui je suis comme toi un mutant. S'apprit tout mon petit change pour faire dévierla foudre de sa trajectoire. Dison aussi que sa me redonner un peu force."

Max déposa sa tête sur le sol et en passa la main dans les cheveux d'Abigaïle.

"Regard la pluie cesse de tombe."

Le ciel se dégageant pour laisser voir le clair de lune et les étoiles.

Abigaïle s'allongea par terre, regardant le ciel.

''C'est si beau...C'est comme dans mes pensées...La lune, la pluie, la mer et les étoiles...''

Oui, elle se sentait si bien. Elle regardait Max du coin de l'oeuil, elle avait eu si peur mais maintenant ça allait, elle sentait sa main dans ses cheveux et sourit.

''Ça va aller?''

Abi s'inquiétait quand même. Elle savait que c'était le pouvoirs de Max, mais quand même, elle voulait être completement rassuré. Une brise fraiche, une brise d'après pluie, passa sur eux. Abigaïle frémit et sourit et se serra dans le manteau de Max, cherchant encore un peu de chaleur.

Max vit Abigaïle frémir de foid il décida de se colla sur Abigaïle pour lui offrir de la chaleur.

"Tout va bien n'aller n'est pas peur ma belle rose. Tu n'as plus rien à craindre. Tu peux te reposer en paix ici avec moi quoi qu'il arrive je serais toujours là pour te protéger."

Abigaïle sentit Max se coller contre elle et ne bougea pas. Elle se sentait bien. Elle se sentait en sécurité contre lui. La jeune femme posa sa tête sur l'épaule de Max.

''Merci...Max...''

Abigaïle ferma doucement les yeux un instant. Elle n'avait pas resentit ce sentiments depuis longtemps, peut-être jamais. Abigaïle voulait lui faire confiance, et elle commençait. Elle avait tellement peur de se faire rejeter, d'être toute seule...

Elle bailla et prit la main de Max dans la sienne. Elle le regarda dans les yeux et sourit. Abi était heureuse qu'il aille bien, et de toute cette situation.

"Aller Abigaïle tu peux dormir tu as l'air fatigué. Je vais étre la demain matin, N'est crainte."

Max fixa droit dans les yeux d'Abigaïle

Abi tremblait légérement mais cela arrêta. Elle avait peur de dormir dehors. Elle avait passé trois ans dans les rues et avait échappé de justesse à plusieurs choses. Mais cette fois c'était différent, Max serait là, il la protégerait. Abi acquiesa et lui sourit.

''D'accord...Max...merci...''

En effet, elle était plus fatigué qu'elle ne le croyait. Tant de chose c'était passé en une soirée. Abigaïle accota sa tête contre Max et se colla contre lui. Cette chaleur rassurante, cette présence. Elle n'avait plus peur.

Abi le regarda encore dans les yeux, ses deux océan de vie et d'espoir nouveau, brillant de fatigue...et de bonheur.

"C'est bon de voir qu'Abigaïle va renaître avec beaucoup d'espoir en elle mais je vais tenir ma promesse Abigaïle. Je vais faire le garde à soir pour que tu puisse rêver au ange à soir. Pour enfin tu n'aille aucune peur sa pas tout le monde qui on de la méchanté dans le coeur. C'est juste ils ont peur de ce qu'ils ne connaissent pas."

Abi acquiesa. Elle lui faisait confiance, oui. Elle sourit et s'installa plus confortablement contre Max, acceptant sa chaleur. La jeune femme se sentait bien.

''Merci pour tout Max...''

La jeune confrériste pensait. Elle avait changé, elle n'était plus aussi froide et fermé. C'était grâce à eux, à tous ces gens. Mais elle savait que Max en avait beaucoup fait pour elle. Elle bailla et ferma doucement ses yeux.

''Bonne nuit...Max...je...merci...''

Elle s'endromait déjà. Ses paupières closes étaient relaxé, ainsi que tout son corps et une bonne partit de son âme. Abigaïle se sentait si bien, elle savait qu'elle aurait un futur. Abi s'endromait peu à peu, un sourire au lèvres.