LA place

Abigaïle l'écouta avec attention. Elle trouvait cela une belle raison. C'est qu'en voyant les enfnats courrir autour d'eux et dans le parc la faisiat sourire. Elle ce souvenait des moments comme ceux là avec peine et amertume mais de voir ces enfants là heureux la rendait aussi heureuse.

''C'est une belle raison je trouve...et c'est vrai...je ressens aussi cette joie...''

Abi regardait autour d'eux puis regarda Max. Il avait l'air serein en cet endroit et cela la fit sourire. Une douce brise valsait entre les arbres et vint lui fouetter les cheveux légèrement. Ils étaient un peu dans le visage de la jeune femme mais cela lui importait peu, elle voyait cela comme une sorte de bouclier mais c'était même assez beau d'une certaine façon, un style en quelque sorte.

''Tu es souvent venu ici?''

C'était envisageable. Mais elle soupsonnait que Max aimait les aprcs en général, les endroits ou les gens étaient heureux.

Abigaïle se rapprocha un peu quand il passa son bras sur ses épaules, elle trouvait que ce qu'il lui disait était très gentil. Abi avait décider qu'elle ferait de son mieux pour s'ouvrir à lui comme il l'avait fait pour elle. Elle le regarda dans les yeux.

''J'essayrai d'y répondre de mon mieux Max...''

Elle était prête. La majorité des gens aurait pensé qu'elle éxagérait mais pour elle c'était très dure. Abi ne s'était pas ouverte, n'avait pas eu d'amis ou de connaissances pour l'aider ou simplement parler pendant plusieurs années. La jeune femme avait été seule mais maintenant elle savait qu'elle ne le serait plus...

Max tarda de un peu avant de lui poser sa question.

"Bien j'aimerais que tu me parle de toi avant, tu sais. Si tu veux pas y répondre c'est ton choix et non le mien."

*J'espère juste que je ne fais pas trop d'intrusion, je veux juste qu'elle se libère de ca fardeau qu'elle porte depuis trop longtemps.*

Abigaïle sourit tristement et regarda au loin.

''Avant peu être plusieurs choses Max...''

Elle n'était pas sur ou commencer.

''Avant que j'arrive à la Confrérie, pendnat que je vivais dans les rues, ou avant que mon gène mutant ne se manifeste?''

Il n'y avait aucune amertume ou stress ou aucun sentiment vraiment dans sa voix. Cette période de sa vie était en effet toute sa vie. La jeune femme ne se souvenait plus vraiment de l'amour et de l'amitié, elle avait vécu tan depuis...

"Commence par le début et tu enchaînera si tu te sens capable, je ne veux pas te forcer tu sais."

*elle va penser quoi de moi au juste que je veux connaityre tous ces secrets, c'est pas ça que je veux, je veux juste qu'elel soit capable de souvire au monde.*

Abi le regarda gentiment. Elle sentait qu,il ne voulait pas la forcée. Elle lui sourit.

''Je sais que tu ne veux pas me forcer...ne t'inquiète pas...je veux m'ouvrire.''

Abi soupira et commença son récit.

''Je suis née à Turin en Italie. J'avis une famille, une enfance choyer et aimé. J'avais plein d'amis, une vie qusi de rêve. Le jour de mes treize ans, nous étions allé skiier. J'ai perdu le contrôle et foncer dans le précipice. En tombant, mes bars se sont allongé et j'ai réussit à me sauver.''

Elle fit une pause, se rappelant tout de cette journée.

''En voyant cela, mes ''amis'' on crier au monstre, leur yeux me montrant de la peur et du dégout. Ils sont tous partit en courrant, me laissant seule...''

La partie qui suivait était encore plus difficile, elle respira profondement.

''Je suis rentré che moi et je l'ai dit à mes parents. Au début ils croyaient que je blaguaient mais quand ils ont vu que c'était vrai, ils ont eu la même réaction. Mon père s'est mit à crié, à me chassé. Je pouvais voir la honte et le dégout dans les yeux de ma mère. J'ai courrut dans ma chambre et ai prit le plus que je pouvais. Ils étaient à ma porte, frappant de plus en plus fort. J'ai sauté par la fenêtre et me suis enfuie pour ne plus y retourner...''

La jeune femme trembalit quelque peu, c'était dure, très dure même. Elle resta silencieuse un moment, se donnant du temps, laissant Max absorber, avant de continuer son récit.

Abigaïle posa sa tête sur l'épaule de Max. Elle se sentait bien et en sécurité contre lu, avec lui. Elle l'écouta, analysant ce qu'il disait.

''Je ne crois pas...Si seulement tu avais vu leur regard...ils avaient...ilas avaient peur de moi...''

Elle calla son visage dans ses mains mais ne pleura pas. Elle n'avait pas vraiment pleuré depuis bien longtemps et ils n'en valaient pas la pein selon Abi. Mais l'idée de Max l'intriguaient...Et si c'était vrai. La jeune femme le regarda dans les yeux.

''Un jour peut-être...je te le dirai un jours...''

Abi n'avait jamais repensé aller voir ses parents, sur de leur réaction. La jeune femme resta contre Max, elle avait besoin de support pour continuer son histoire.

''Quand je me suis enfuis je n'avais nul part ou aller. Plus d'amis...Aucun famille...J'ai traîné dans les rues de Turin une bonne semaine, trouvant de quoi mangé ici et là. Je me suis enfuit jusqu'en Allemagne, là j'ai vécu la vie dure dans les rues. Je ne pouvais pas m'exprimer, je ne pouvais rien faire...''

Les mémoires l'envahissait et elle se serra les bras.

''J'ai réussit à embarquer sur un train, je me suis infiltrer dans la wagon bagage. C'était tellemnet froid, j'ai été malade pour un mois après. Puis c'était la France. J'ai réussit à trouver un petit trvail à Paris pour un moment mais ensuite je me suis fait virer quand ils ont découvert que je vivais à la rue. J'ai érré, seule, dans le froid et les poubelles...''

Abigaïle se rappelait de tant de choses, tant de nuits...Tant de peurs...Elle frissona.

''Je me suis fais arrêter plus d'une fois mais grâce à mon pouvoirs j'ai pu m'échapper, ce n'était pas difficile et les autiroté avait trop peur pour me rattraper...J'ai réussit à corrompre un matelot avec le peu d'argent qui me restait et il m'a enferme dans une des salle du bâteau. Un mois dans les flots ballotant, des fois il se rappelait de m'apporter de la nourriture, des fois pas. Un jour, le capitain m'a découvert et a faillit me jeter par dessus bord. Il a décider de me faire travailler jusqu'à ce qu'on arrive en Amérique et là il me livrerait à la police.''

Ce long voyage l'avait beaucoup affecté, comme toute sa vie les trois dernière années.

''Ma vie n'a été que fuite et poursuite à NY. Quand nous avons déssendu du bâteau, j'ai réussit à m'accrocher à un poteau et à me tirer à un endroit ou il ne pourrait pas m'atteinder. J'ai courrut si longtemps, toute sirène me faisait sursauter...''

Encore aujourd'hui, chaque alarme la faisait sauté, chauqe policier l'intimidait.

''J'ai malheureusement joint une bande, et les choses on dégénéré...Ils ont voulut simplement m'utiliser comme pantin, un appat pour un autre gang. J'ai subit des traitements inhumains...Mais je suis chanceuse d'être encore vivante...''

Abigaïle trembalait à ce point, elle n'en pouvait plus mais allait continuer, allait en finir.

''Ils m'ont laisser pour morte dans une ruelle, des rats m'entournant peu à peu....Un homme m'a trouvé et m'a amener à un hopital...Je ne l'ai jamais revu. J'ai été soigner à l'hopital, mais quand ils ont découvert que j'étais mutante ils ont commencé d'autre tests...''

La jeune femme se rappelait des aiguilles, les coupures, les machines...

''J'ai paniqué et j'ai tout sacagé...Je me suis enfuit et me suis réfugié sur une plage. Je me souvient que j'ai pleuré toute la nuit la journée d'après...Je ne pouvais plus arrêter...J'avais peur, froid, faim. Je n'était plus humaine, j'avais été traîter pire qu'une bête...Je n'en pouvait plus...''

Abi serra doucement son collier, essayant de respirer normalement, ne pas céder à une ancienne panique.

''Max...C'est un miracle que j'ai survécu à tout cela...J'ai réussit à me nourrir, à voler des vêtements et des choses avec les quel me soigner. Quand j'étais présentable et relativement en santé, que j'avais recommencer m'a vie...et bien j'ai joint la Confrérie. Je hais les humains pour tout ce qu'ils m'ont fait souffrir...''

Abigaïle n'en pouvait plus, ses yeux était brumeux et quelques larmes coulèrent doucement. Cela la rendit furieuse et elle plaqua ses mains sur son visage.

''T..Tou..tout ce que j'avais était moi...ma barière...Je...J'ai réussit à survivre et maintenant j'essai simplement de vivre...Je...Je ne veux pas qu'une autre personne doivent vivre ce que j'ai vé...vécu...C'était un enfer...j'ai vécu l'enfer Max...''

Abigaïle s'accota contre le torse du jeune homme cherchant chaleur et réconfort. Elle avait tellement froid, elle se sentait comme un glaçon. Abi se retenait, elle ne voulait plus pleurer, elle ne devait pas pleurer...

''Max...''

Elle leva son visage vers celui du jeune homme, ses yeux rougie légèrement, cherchant ce qu'il pensait, voir sa réaction... Abi venait de se vider complètement, elle n'en pouvait plus... La jeune femme se sentait bizarement légère et fatigué. Elle sentait la chaleur de son ami et cela l'aidait...Comme elle avait froid...


HJ: Mon histoire elle tient pas debout lol...J'ai fait de mon mieux et je suis pas mal sûr que c'est la plus long post que j'ai jamais écrit ...Mais ça tient pas debout

Max la serra d'avantage.

"Abigaile il est tant que tu laisse tes pleure aller, il n'y a aucune honte de pleurer. aller laisse toi aller tu vas voir tu vas mieux te sentir. Tu ne dois pas hair les humains, parce que la haine pourras te détuire et c'est qulque chose que je ne veux pas qui t'arrive. Laisse ta haine partir. Sois plustôt désoler pour eux parce qu'il ne comprendrait peut-être jamaisnotre situation, les normaux on peur de ce qu'ils ne peuvent pas expliquer."

Max laissa couler quelque larme.

"Je sais que je te demande l'impossible de laisser partir ta haine contre les humains, mais il ne faut pas oublier que tu es une humaine aussi à part entière."

Abi le regarda profondement. Au fond, elle savait qu'il avait probablement raison mais elle ne voulait pas l'admettre. La jeune femme se laissa serre contre Max et se sentait déjà mieux.

''Max...''

Elle se laissa aller. Les larmes coulèrent sur la chemise de Max, elles étaient silencieuse mais parfois Abi pleurait ouvertement. La jeune femme se sentait comme si elle avait tout revécu. Elle se blottit contre Max, le serrant, se snetant si faible et inutile. Abi avait eu tellement peur dans sa vie, et maintenant, toute ses peurs sortait.

''Je ne sais...je ne sais pas...si je le peu Max...c'est si difficile...''

La jeune femme pleurait encore mais moin violament. Elle avait fermer les yeux.

''Je me sens si faible Max... faible et inutile...c'est horrible...je n'en peu plus...''

Elle leva son regard vers celui du jeune homme. Elle voyait sa tristesse aussi, elle voyait qu'il était sincère dans ce qu'il disait. Abi voulait rester avec lui, elle savait qu'elle ne serait plus seule...

Abi le regardait profondément. Besoin d'elle? C'était la première fois qu'on lui disait cela. Elle acquiesa à tout ce qu'il venait de dire.

''Je...je vais essayer Max...oui...''

Elle ne savait pas dans quoi elle s'embarquait. Ses peurs et ses sentiments étaient contradictoire. C'était très dure pour elle, mais elle lui faisait confiance, il l'aiderait.

''Moi aussi j'ai besoin de toi Max...Pour réussit ceci, pour continuer...pour ne plus avoir peur...''

Abi ne le lachait pas du regard, on voyait la sincèrité dans ses yeux.

''J'ai découvert des choses que je ne pensait plus possible grâce à toi Max...merci...''

Des larmes coulaient encore sur ses joues rosies. Elle sentait une force nouvelle en elle. Elle se sentait vivante pour la première fois depuis longtemps, revivre enfin d'une certaine façon. Ce serait difficile, les choses ne s'éfface pas si facilement, la jeune femme avait été profondément traumatisé, mais elle essayrai. un doute...une peur flottait encore dans son esprit parcontre...Et si elle n'en était pas capable?

Abi perdu toute les couleurs dans son visage.

''Appe...Appeller mes parents?''

Non! Elle ne pouvait pas le faire, c'était impossible, ils l'avaient blesser trop profondément.

''Tu ne comprends pas Max, ils ne m'aiment plus. Cette journée...leur regards...tout à changé...Je suis sûr que dans leur esprit ils n'ont plus d'enfants...''

Abigaïle regardait ses pieds. Au fond d'elle même elle savait qu'il avait raison, mais c'était trop dure pour elle. Elle le regarda droit dans les yeux, timidement.

''Si...si je les appelais...tu...tu resterais avec moi, hein?''

La jeune femme savait que si elle les appellait, elle aurait besoin du support de Max. Elle savait que ce serait difficile...mais éventuellement...nécéssaire.

"Abigaile je serais toujours à tes côté pendant les moment les plus difficele tu le sais bien, mais je sais que tu voulais l'entendre de ma bouche et pour te sentir rassurer. Je ne vais jamais baisser les bras."

*Aller petite tu es capable je le sais.*

Abigaïle considéra l'idée un long moment. Appeller ses parents serait probablement une des choses les plus dure qu'elle ai à faire. Elle regarda Max dans les yeux, lui demandant si c'était vraiment si nécéssaire.

''J'ai...j'ai...j'ai peur Max...''

Elle regardait au loin, serrant ses mains.

''J'ai peur qu'ils me rejettent encore une foix...''

Elle l'avait dit, elle l'avait avoué. La plus grande peur d'abi était d'être rejeté et abandonné...encore.

Abi acquiesa. Elle y penserait. Mais maintenant, elle allait retourner dans son petit monde, ce paradis que Max lui avait aidé à découvrire. Elle ferma les yeux et tint son beau collier dans sa main. Elle sentait les roses, le vent et la mer. Abigaïle se sentait bien, elle soupira, se relaxant peu à peu. Elle ouvrit les yeux.

''Max...je peux m'accoter contre toi?''

La jeune femme le regardait à la dérobé. Sa position en ce moment était très légèrement incomfortable, et elle aimait sentir sa chaleur contre elle, cela l'aidait, la rassurait.

"Pas de problème Abigaile, place toi confortablement."

Max lui regarda droit dans les yeux et avec un sourire, pour savior que Abigaile avait regagner sa paix, mais il savait qu'elle lui restais beaucoup de chemin à faire pour qu'elle sois vraiment en paix avec elle et de se libérer de ce fardeau.

Abi passa ses bras autour du cou de Max, regardant toujours le sol.

''J'aimerai tant redevenir celle d'avant Max...mais je crois qu'elle n'existe plus...''

Elle repensa à ses parents et laissa s'échapper un sourire de tristesse.

''Tu le penses sincèrement? Je l'espère un peu...mais je ne pense pas qu'ils aient changé...''

Abi s'était empéché de penser à sa famille, ses amis, sa vie d'avant depuis son départ. Pour elle c'était du passé mais Max l'aidait à se souvenirs...

"Tu le peux Abigaile elle est juste caché dans le fond de toi elle attend juste que tu aille la chercher"

*Khan:Un être si fragile et facile à briser.*

*Max: je ne vais pas lui faire ça...*

"Abigail est une amie très cher à mes yeux."


Max serra Abigaile comme si il avait peur il tremblait, il tenta de le camoufler

(hj: Je me suis dis pourquoi pas plus drôle d'une façon)