Trouver refuge (Chambre d'Abigaïle)

Abi fut intrigué par cette demi-proposition. Elle ne voyait pas de quoi il parlait. La jeune femme était ouverte à plusieurs proposition et on verrait.

''Vas-y toujours, on ne sait jamais...''

Elle était très curieuse tout à coup, surtout car Max fuyait son regard, chose qu'il n'avait jamais vraiment fait auparvant.

Abigaïle soupira avec résignation, elle lui avait bien dit qu'elle le ferait. La jeune femme ramassa les assiettes et les mits dans le lave vaiselle. Elle posa le tablier ou elle l'avait trouver et revint vers Max. Elle n'avait toujours rien dit et lui sourit faiblement.

''C'est d'accord...''

Elle ne voulait pas l'admettre, mais Abi avait très peur. Elle ne savait pas à quoi s'attendre. Au moin, quoi qu'il arrive, elle saviat qu'elle avait MAx et cela la rassurait.

Abi déposa un baiser sur ses lèvres et lui sourit.

''Je vais les appeller Max...je dois les appeller...''

Elle le serra dans ses bras, il lui avait donné le courage dont elle avait eu besoin. La jeune femme ne bougea pas pour un moment, elle était confortable et se sentait bien.

''Tu sais...je te remercie Max...tu as changé ma vie...''

La jeune femme le regardait dans les yeux. Ses deux abisses bleu paraissait plus claire, moi sombre et triste.

Abigaïle s'accota contre Max, pensante, rêveuse.

''Ouais, ça serait bien non?''

Elle sourit à Max et se leva. Elle lui prit la main.

''Retournons à ma chambre, tu veux?''

Abi avait une mine mignonne sur le visage. La cuisine n'était aps son endroit préféré de la Confrérie. En faite, tout cette endroit était froid et dure, sa chambre était son seule refuge. Un refuge dans le suele monde auquel elle pouvait appartenir.

"Très bien Abigaïle je te suit dans ta heumble chambre. "

*Je me demande si je lui en demande pas trop, qui sait.*

MAx suivi Abigaïle jusqu'a sa chambre resta à côté d'elle pour la soutenir lors et après son appel et pour toujours aussi.

Abigaïle prit le téléphone et commença à composer le numéro. Elle tremblait légèrement mais le présence de Max la rassurait. Le téléphone sonna.

dring...dring...

Elle retenait presque sa respiration, elle avait peur.

dring...ddring...

La jeune femme serrait le combiné de plus en plus fort.

dring...Bon-giorno...

Abigaïle faillit pleurer quand elle entendit la voix de sa mère.

...qui est à l'appareil?...

Abi avala fortement.

''C'est moi Mama...''

Il y eu un grand silence, Abigaïle trembalait, elle lacha presque le téléphone.

...

''Mama! C'est Abigaïle, tu te souviens...''

Encore ce silence. La jeune femme lacha le téléphone et s'éffondra par terre. Elle avait eu raison...Ils ne l'aimaient plus depuis ce jour...Ils l'avaient oublié...

Max prit le téléphone et Abigaïle et déposa Abigaïle sur le lit, mais une voix se fit entendre du téléphone.

-Abigaïle mon enfant

Max lui rendi le téléphone.

(HJ: je ne sais pas si c'est que t'avais prévu.)

Abigaïle pleurait ouvertement mais prit le téléphone.

''Mama?''

...Abigaïle...tu...tu...tu es vivante...je suis...si heureuse...

La jeune femme pouvait l'entendre pleurer, et cela ne fit qu'agrandir ses pleurs.

''Mama! J'étais sur que tu ne m'aimais plus...que tu ne voulais jamais me revoir...''

...mon Abigaïle...la journée...ou...tu...tu...as changé...et bien ce fut un choque...ton père et moi n'étions pas près à ça et nous avons mal réagit...et nous sommes tellement désolé...

Abigaïle serrait le combiner et rembalit.

''...j'avais tellement peur Mama...j'ai eu si peur...''

...nous aussi Abigaïle...nous te croiyion morte...perdu à jamais...

La confrériste pleurait mais moin fortement.

...Abigaïle...rentre à la maison...reveint chez nous...

Ce fut le tour d'Abi de faire un grand silence.

''Mama...Papa...je vous aime et je sais que vous m'aimez...vous savez que je suis vivante et croyez moi...je vais bien...''

Elle fit une pause.

''Mais maison est ici maintenant...''

...mais Abi...nous voulons tant te voir...

''Je sais, et je reviendrai un jour, je vous le promet...j'ai aussi une grande surprise pour vous...''

Abigaïle commença à parler en italien et puis ferma le téléphone quelques minutes plutard. C'étiat un choque, quelque chose qu'elle n'avait pas attendu. Elle tremblait.

*je dois apprendre sa langue parce que là je ne comprend rien du tout*

"Qu'est-ce qui se passe Abigaïle, est-ce que sa va"

Max se demandais se qui se passa avec Abigaïle avait-il prit la bonne décision de la faire apperler ou non, Max étais un peu confut.

Abigaïle fixait le plancher. Sa mère venait de lui dire que quelques heures après qu'elle s'était enfuit ils l'avaient cherché mais sans la retrouver, elle avait déjà été loin. Elle venait de réaliser quelque chose qui l'avait frappé.

''Toutes ces années, ces peines, ces misères...Tout...tout...est de ma faute...Max...j'ai toujours chercher quelqu'un à blamer et cette personne c'est...moi...''

Abi tremblait encore. Tout étiat de sa faute. Elle avait eu l'arrogance de l'accusé sur ses parents et les humains, mais tout était de sa faute vraiment.

Max prit Abigaïle dans ses bras et lui fortta le dos.

"Non Abigaïle tout ça n'est pas de ta faute tu le sais très bien."

*Qu'est-ce que je raconte moi, je vais pas lui dire oui c'est de ta faute, sa aucun sens.*

"je vais toujours être l'à, à tes côté quoi qu'il arrive, au moin aujourd'hui tu as eu la réponse que tu voulais, espéron que c'était la réponse que tu voulais entendre."

Abigaïle posa sa tête sur l'épaule de Max et pleura. Sa présence et sa amin dans son dos la relaxait peu à peu mais la jeune femme se sentait si stupide et vulnérable.

''Si seulement je n'avais pas agit sur impulsion...''

Cela aurait changé plusieurs choses dans sa vie, dont Max...Elle ne l'aurait peut-être jamais rencontré. Toute chose arrive pour une raison, bonn ou mauvaise. Abigaïle se serra contre Max et lui tenait la main fortement, malgré qu'elle trmeblait encore un petit peu.

Abigaïle se blottit légèrement contre lui, se rejouant cet appel. Au fond, elle était heureuse, ses parante l'aimaient et un jour elle retournerait les voir. Mais, de l'autre côté, elle se sentait coupable de les avoirs laissé ainsi. Abigaïle prit la main de Max dans la sienne.

''Nous irons en Italie Max...je veux que mes parents te rencontre...c'est très important pour moi...''

Abigaïle avait la tête sur l'épaule de son amoureux, et sa main dans la sienne, accoté sur le trose du jeune homme. Abi réalisa alors que pour la première fois depuis lontemps, tout était parfait...La jeune femme ferma les yeux légèrement pour apprécier le moment et se reposer de ses émotions.

"On ira où tu voudra Abigaïle, si pour toi c'est important je vais te faire plaisir . J'en suis sûr que tes parents sont des personnes formidables."

*Bon je me demande ce qu'on va faire aujourd'hui il est encore de bonheure.
on a tout le temps d'y penser.*

Max frottait le dos d'Abigaïle et pensait à toute sorte de chose qui pourrais se passer quand il visitera ces parents.

Abigaïle somenolait et révassait. Ses pensées allait à Max et à ce qu'ils pourraient faire tout les deux en Italie, avec ses parents. Elle était sur qu'ils aimeraient Max, il était super. La jeune femme leva son regard vers son amoureux.

''Max...parle moi de toi...de ton passé...''

Elle serra doucement sa main.

''Tu en connais beaucoup sur moi...plus que personne en faite...mais j'aimerai mieux te connaître aussi...savoir comment tu étais avant notre rencontre...''

Abi le regarda dans les yeux. C'était important pour elle et elle espérait qu'il voudrait bien.

La jeune femme s'assit sur le lit, le regardant. Le passé des gens était toujours quelque chose d'intriguant, mais des fois, il pouvait aussi contenir des choses qu'on ne préfererait pas partager. Abigaïle espérait qu'il s'ouvrirait à elle, mais savait que cela pouvait être difficile, très difficile même des fois.

''Prend ton temps Max, ne t'inquiète pas...''

Elle lui donna un sourire compréhensif. Après un moment, son regard dévia vers la fenêtre, ou elle regardait le paysage, pensante...

Abigaïle ferma légèrement des yeux, essayant de mettre en scène l'enfance de Max. Il avait été heureux jusqu'à ce que ses pouvoirs apparaissent, comme elle.

''Je suis désolée...''

La jeune femme réalisa qu'il avait peut-être vécu pire qu'elle, et que ce n'était qu'elle qui se plaignait, et ne vivait que dans le passé.

''Je...tu as tant vécu...comme moi...mais moi...je me plains et je bloque le monde...quand toi...tu es quand même heureux...''

Elle s'était assise et regardait par la fenêtre.

''Mon comportement a été juvénile dès le début...je mérite ce qui m'est arrivé...''

La jeune confrériste se mit en boule, serrant ses genoux. C'était une position qu'elle prenait assez souvent, quand elle se snetait triste et coupable, mais ne voulait pas le montrer. Elle avait toujours su s'occuper d'elle même.

Abigaïle ne voulait pas bloquer Max, il avait déjà fait tant pour elle, c'était spactaculaire. Mais les habitudes était difficile à perde parfois...Il lui fallait du temps, encore du temps pour laisser aller de ses démons passé...

Abi sentit la larme de Max sur sa joue, elle l'essuya et posa sa main doucement sur la joue du jeune homme. Elle le regarda dans les yeux.

''Tu as raison, je le sais, mais c'est dure...si difficile...''

La jeune femme laissa sa tête reposer sur l'épaule de Max et prit sa main dans la sienne. Elle la serra fortement et ferma les yeux. Max et elle avait beaucoup en commun d'une certaine façon...Ils avaient tout deux été triste et avaient trouvé quelque chose de spécial l'un dans l'autre.

''Merci...''

Abigaïle laissa quelque larmes lui tombé des yeux. Ces larmes n'était pas vraiment de tristesse, ni de joie. La jeune femme resentait enfin quelque chose qu'elle n'avait pas eu depuis trop longtemps. Elle n'avait plus peur et était soulagé.