Promenade

Abigaïle sourit. Elle était contente qu'il n'avait pas été seul et qu'on s'était occupé de lui.

''Je suis contente que n'étais pas seul, ils semblent gentil...surtout cette femme...et ils te donnent le choix...c'est bien...''

Elle n'avait rien contre les x-men mais elle déplorait l'idée d'aimer les humains, mais ces mutants paraissaient assé gentil.

''Moi aussi j'ai rencontré un mutant de l'Institut, mais disons que ça n'a pas été aussi gai. Je lui ai pas donné beaucoup de chance, j'ai été assé méchante envers des humains et je l'ai quelque peu insulté...''

Abigaïle se sentait un peu embarassé de sa conduite. Mais pourquoi? Elle ne s'était jamais sentit mal au paravant, il l'avait bien mérité, c'est tout... Mais elle avait des doutes sur cela. La jeune femme avait quelque peu changé. Elle s'allongea sur le dos et se prit la tête dans les mains tout en boudant contre elle même silencieusement.

''Qu'est ce qui m'arrive! J'ai jamais eu de remords avant...''

La jeune femme regarda Martin à la dérobé. Elle se sourit. Ce jeune homme lui avait montré une différente vu des x-men et des humains, mais sa haine l'aveuglait encore trop. Elle soupira et ferma les yeux un instant pour se calmer. Ce n'était pas si mal en fin de compte, juste nouveau et quelque peu irritant.

Martin ecoute avec attention.il s'assit a coté d'elle.

-c'est le changement.on n'en a tous peur et on le repousse.meme si c'est une bonne chose.dans le fonds:c'est peut etre pour ça que les humains ont peur de nous.nous sommes ceux qui change le monde,nous sommes nouveau,bref nous une grande conjonction....et les humains ont peur de perdre leur vie monotone et sont aveuglé par leur fierté d'etre le plus superieur des especes.ils croient tout savoir,avoir raison mais quand il y a de nouvelle chose qui ne connaissent pas,ou des preuves qu'ils se trompaient.au lieux de relever le defi de comprendre,ils choisissent de detruire,meme si c'est un homme qui donne ce nouveaux savoir ou changement:comme Galilée.

Abigaïle s'accota sur le coude et regarda Martin dans les yeux. Il avait raison, elle ne pu s'empécher de sourire, mais d'un sourire plutôt ironique.

''Voilà une preuve de notre superiorité non?''

Elle soupira, contente de sa réponse mais elle savait que ce n'était pas complètement vrai.

''Moi j'ai peur d'eux, des humains, de ce qu'ils peuvent me faire. J'imagine que c'est pour ça que je ne peux pas me résoudre à les aimer. Je ne laisse pas beaucoup de personne entré dans ma vie, et si j'en laisse et qu'ils me décoivent, et bien c'est comme remuer le couteau dans la plaie. J'imagine que je suis comme je suis par prévention, pour ne plus avoir mal...''

Elle leva les yeux au ciel.

*Mais pourquoi est-ce que j'ai si mal quand même...*

Abigaïle s'assit en boule. Elle avait la tête sur les genoux et ceux-ci étaient entouré par ses bras.

''On dirait que les sentiments qui font tourner le monde sont la peur et la fierté, c'est pathétique, nous sommes tous pathétiques...''

La jeune mutante fixait le vide en disant cela. Dans son affirmation elle incluait humains comme les mutants. La peur des humains pour les mutants et la fierté des mutants vis-à-vis les humains.

''C'est comme un cercle vicieux...jusqu'au jour ou ce sera la paix entre nous tous, un jour qui ne viendra que dans très longtemps...''

Cet air si mélancolique mais si famillier vint trouver le visage de la jeune femme. C'est comme ça qu'elle pensait. Elle n'était pas vraiment pessimiste mais surtout pas optimiste. Elle esseyait d'être réaliste sans adoucir les faits. Pour elle, la vie comme la vérité est dure...sans autre issue que de l'affronté la tête haute.

Thiodar savait qu'elle avait raison.mais il n'y a pas que cela.

-Mais il y a aussi l'amour,la solidarité,l'espoir et l'amitié dans ce monde....meme l'animal reputé feroce et sanguinaire peut se montrai doux envers ses petits.comme le crocodile:elle capable de dechiqueter de ses machoires,mais elle peus faire tres atenttion avec ses petits quand elle les prends dans la geule sans les devoré.ou chez les hommes.des hommes qui se sont battu sans violance pour une cause juste.meme chez les mutant:une fille qui s'était pour la 1er fois avec un mutant qui n'avait pas les memes ideaux......bref ce qu j'essaye de te dire:c'est qu'il y a jamais le mal sans qu'il y ait le bien...il faut juste trouve l'un ou l'autre.

Abigaïle sourit tendrement. C'est vrai, il y avait aussi des sentiments: l'amour, l'amitié, la solidarité, l'espoir... Si on lui avait dit cela deux jour plutôt elle n'y aurait pas cru mais aujourd'hui... Tout était différent.

''C'est vrai, tu as raison, mais si on m'avait dit cela hier je n'y aurai pas cru...''

La jeune femme le regarda dans les yeux. Elle pensait à ce qu'il venait de dire... ''Il n'y a jamais le mal sans qu'il y ait le bien...'', c'était sage et très vrai. Puis ses pensés changèrent de sujet. Combien de temps se connaissaient-ils? Quelques heures? Mais c'était assé, assé pour forger une belle, forte et première amitié. Abigaïle s'assit normalement puis s'allongea sur le dos. Elle regardait fixement la plafont. Elle repassait cette journée dans sa tête.

''Tu sais...avant que je te rencontre ce matin...la seule chose dans mon esprit était que je n'était pas normale...une anomalie. De leur resemblé tant quand je suis mutante... ça me dégoutait. Mais maintenant, ça a changé, ça ne me fait rien, je suis fière d'être mutante, même si je leur resemble...''

Elle sourit. Même si elle détestait les humains, ça ne lui faisait plus quelque chose de leur resembler. Elle avait ouvert les yeux sur de nouvelles perspectives mais dans son coeur elle ne portait toujours pas les humains.

''J'ai parlé au patron de l'hotel. Tu sais, il pense que tu portes un costume. Tu arrives bien à caché ton identité on dirait?''

Abigaïle se souvint ed sa stupéfaction quand l'homme pensait que Martin portait un costume, il n'avait même pas douté de son identité...

-je suis content de savoir que tu es en paix avec toi meme.

Martin reflechit a la reflexion

-j'ai eu de la chance c'est tout.il y 2 semaines quand il se posait des questoin sur l'épée.je lui expliquer mon passe temps.du coup le fait de me voir ainsi...... oh d'ailleur tient:un cadeau en signe d'amitié.

Martin enleva un collier enleva un des deux anneaux,l'atache a un autre fil et le passe autour de coup d'Abigail

Abigaïle fut surprise par ce geste. Un cadeau? Pour elle? Elle observa l'anneau, il était très beau. La jeune femme fut très ému.

''Il...est magnifique Martin...Merci beaucoup...je l'aime beaucoup.''

Abigaïle lui sourit chaleureusement et le serra dans ses bras. Elle n'avait pas reçu de cadeau depuis si longtemps...

''Merci mon ami...''

Elle serra le collier dans sa main.

''Nous sommes liée encore plus maintenant...on ne serra plus vraiment tout seule ainsi...''

Elle sourit. Abigaïle n'en revenait toujours pas, comme cette journée était devenu si magnifique et heureuse. Il n'avait fallut qu'une personne.

-je heureux que ça te plait.

Thiodar tata le sient.

-deux anneaux......deux amis,c'est une legende qui disaient que deux amis possedai un anneaux different.ils se batterent toujours ensemble et mourairent ensemble.cependant un fils des deux le trouva les anneaux.et se dit que desormai un personnes possedant deux offre l'un a une personne en signe d'amité varitable.grossomodo.la version complete et plus longue.bien que se soit une legende j'ai voulu quand meme achete deux anneaux.j'ai que peut etre j'aurai un ami auquel je tiendrai encore plus que les autres.

Abigaïle écouta la légende avec attention. Elle décida qu'elle n'elèverai plus jamais ce collier. Leur amitié était définitivement véritable, on ne pourrait pas la briser. La jeune mutant s'assit et regarda Martin dans les yeux.

''Merci, c'est très touchant. Avant ce jour je ne pensais pas retrouver l'amitié, je croyais que c'était peine perdu, mais tu as tout changé Martin. Je ne suis plus seule et j'aime ça. Tu m'as sortit d'un endroit sombre ou j'étais en moi même...''

La jeune femme avait quelque peu dévier le visage en disant cela mais avait reporté son regard à celui de Martin. Ses yeux montraient l'émotion et la joie qu'elle resentait. Elle posa sa main sur la joue de Martin.

''Nous serons toujours ami Martin, je te le jure, rien ni personne ne pourra briser cela...''

Abigaïle prit son collier dans sa main et le serra.

-je n'ai jamais été aussi heureux qu'une personne me voit au dela de mon apparence et je suis heureux de savoir j'ai pu t'aider.

en realité,Martin ne savait quoi dire.....et bien qu'il aimerait rester avec elle encore un peu,il vait des chose a faire....sa peu attendre encore un peu...

Abigaïle le regarda un moment et lui sourit. Puis elle remarqua l'horloge, le temps avait passé vite. Elle se leva.

''Wow ça fait longtemps que je suis ici moi, ça a passer vite... J'ai du te retenir, t'avais probablement des choses à faire...je suis désolée.''

Elle baissa la tête en signe d'excuse mais elle était contente d'avoir passer la journéa avec Martin.

''Si tu veux...je peux te laisser...''

La jeune femme le regarda, attendant une réponse. Elle ne serait pas offencé, il avait déjà fait tant pour elle. Elle regarda son collier et sourit encore.

Martin vit l'heure lui aussi et effectivement:il vait des choses a faire.

-bien que j'ai peur de te faire,je voudrai bien que tu me laisse.j'ai moi meme un chemin a parcourir en solitaire.j'ai été heureux de t'avoir rencontrer.mais si tu veux vraiment encore rester,tu peux.en tout cas,jusqu'a ce que je me decide,tu pourrai revenir quand tu veux.

Abigaïle sourit.

''Je vais te laisser. Je reviendrai un jour, bientôt j'espère. Tu sais ou me trouver, et ne t'inquiète pas pour ton choix.''

Elle recula un peu, vers la porte. Elle regarda vers la fenêtre pour regarder le port. Puis elle baissa la tête pour regarder son nouveau collier et sourit.

''À bientôt Martin Reman...mon ami...''

La jeune femme avait ouvert la porte et attendait une réaction du jeune homme.

-au revoir Abigaile,mon amie.et ache ceci:Thiodar est la pour toi aussi!jusqu'a ce que nos chemins ce croise a nouveaux:bonne chance et que le destin t'epargne les mauvais jour.

Martin se mit a lire le journal:un fou furieux a prit un otage dans l'eglise et a reclamer qu'un guerrier vient le defier.la police reflechit au moyen de l'avoir car il ne comprennent pas le cingler.ils ont 4 jours......Martin pensa que c'etait la bonne occasion de sortir en Thiodar mais avant il devait maitrisé son pouvoir.il sera utile.....

hotel de la mouette bourré